Soutient du projet de l’association Nai Qala qui gère actuellement 90 classes préscolaires pour des milliers d’enfants dans les zones rurales des provinces de Bamyan et de Daikundi en Afghanistan.

Contexte

Le système éducatif afghan a été perturbé par 40 années de conflit et de troubles politiques persistants. On estime que 3,7 millions d’enfants ne sont pas scolarisés en Afghanistan et que 60 % d’entre eux sont des filles. Terminer l’école primaire reste un défi, surtout dans les zones rurales et pour les filles.

La rareté des écoles et l’absence de moyens de transport sont les principaux obstacles à l’éducation. Les barrières géographiques, notamment dans les zones montagneuses, rendent difficile l’accès des enfants aux salles de classe : une longue marche pour se rendre à l’école implique que moins d’enfants s’y rendent.

Le projet:

L’association Nai Qala a constaté un déficit flagrant en matière d’infrastructures scolaires officielles, ainsi qu’un nombre important d’enfants privés d’éducation. Elle a donc élaboré des projets de construction d’écoles et des programmes préscolaires dans les régions montagneuses isolées du centre de l’Afghanistan. Il n’existe pas encore de programme préscolaire officiel géré par le gouvernement en Afghanistan, bien qu’il soit inclu dans le plan stratégique de l’éducation nationale. L’établissement de structures préscolaires dans des régions reculées est particulièrement difficile, c’est pourquoi Nai Qala souhaite venir en aide aux communautés marginalisées du centre de l’Afghanistan.

L’association Nai Qala gère 10 classes d’éducation communautaire dans les provinces de Bamyan, Daikundi et Ghazni, reconnues comme un moyen efficace de fournir une éducation dans les zones reculées où l’accès à l’école est difficile.

Ces classes représentent une opportunité d’amélioration de vie, tant pour les enfants que pour les communautés marginalisées qui ont été négligées depuis trop longtemps. Chaque classe est implantée au cœur de la communauté, impliquant activement les parents, les enseignants et les autorités locales à chaque étape du projet. Nai Qala collabore avec les communautés en les encadrant, les guidant et les accompagnant sur une longue période afin de les autonomiser pour qu’elles puissent gérer le projet de manière autonome à l’avenir, avec un minimum d’intervention extérieure.

Nai Qala s’engage à fournir une année d’éducation à ces enfants, principalement des filles, résidant dans 10 villages éloignés. Pour ce faire, l’organisation recrute et forme des enseignants locaux, fournit des manuels scolaires et du matériel de papeterie.

 

Objectifs:

  • Offrir un environnement accessible, sûr et favorisant l’apprentissage des écoliers.
  • Obtenir une hausse du nombre d’enfants scolarisés, en particulier de filles.
  • Des communautés responsabilisées et sensibles à l’importance de l’éducation et un projet durable.
  • Des perspectives d’emploi pour le personnel enseignant.
  • Dans le programme préscolaire, enseigner les bases de la lecture, de l’écriture et du calcul mais aussi développer les capacités sociales, acquérir de solides valeurs humaines et poser les bases de l’hygiène etd’une bonne nutrition
  • Œuvrer pour une société plus inclusive en mélangeant garçons et filles dans les classes.
  • Renforcer le pouvoir des femmes en les recrutant pour enseigner en en leur offrant une formation complète.
  • Protéger les enfants en promouvant un enseignement sans violences physiques ou verbales
  • Encourager une alimentation saine pour les enfants et sensibiliser les parents.

En découvrir plus en images:

 

 

FRANCE: Clichy-sous-Bois (93)

Together to the top for Paris 2024.

Avec la section féminine de l’UF Clichois, Seine-Saint-Denis, France. (2022-2024)

Projet innovant intégrant la science du changement de comportement :

Aide au financement des cotisations et de l’équipement pour les filles de familles en difficulté financière. Aide à l’organisation d’un camp ou un voyage au printemps.

Promouvoir de nouvelles habitudes de lifestyle (BC) : activité physique, nutrition, sommeil, pour être en pleine forme toute l’année tant sur le terrain qu’à l’école, suivi de la progression scolaire. Implication des parents dans le projet.

« Un esprit sain dans un corps sain ».

Suite à l’épidémie de Covid, les statistiques montrent que la santé des jeunes et particulièrement des jeunes socialement défavorisés, s’est dégradée.

L’activité physique :

  • Pour être en bonne santé,
  • Pour améliorer sa mémoire,
  • Pour bien dormir avec un sommeil réparateur,
  • Pour booster le système immunitaire et se défendre contre les maladies, les bactéries et les virus, en conjonction avec une alimentation saine.

Le football :

  • Le sport le plus populaire de la planète, pratiqué par les garçons et maintenant les filles,
  • Un jeu, il est très important pour les jeunes et les ados de jouer,
  • Un sport collectif où les valeurs de partage, de solidarité, de cohésion, d’esprit d’équipe, de respect, sont primordiales.

UF Clichois:

  • Une municipalité qui soutient fortement le club,
  • Des valeurs: Respect, amitié, solidarité,
  • Un fort engagement et dévouement des dirigeants et des coachs,
  • Situé dans un département français des plus défavorisés économiquement.

Bénéficiaires :  Une cinquantaine de filles et indirectement leur famille, frères et sœurs soit plus de 200 personnes.

 

 

La Fondation Pierre-Henri Ducret soutient la scolarité de 8 élèves en primaire et secondaire et de 4 étudiants en études supérieures.
La Roue de Secours fêtera ses 3o ans d’existence en 2023. Grâce à ses parrains et adhérents l’association permet à plus de 240 enfants de familles en extrême précarité d’être scolarisés. Elle organise leur transport scolaire, la surveillance des devoirs, leur fournit également les uniformes, les livres, les cayons, stylos et cahiers et du ruban pour les nattes.
En 2009, le premier élève arrivé en maternelle a pu entrer sur le marché du travail, diplôme en main. En 2016, 35 autres diplômes ont été obtenus, ingénieur, informaticien, biologiste, comptable, infirmière, gérant administratif…)
Les enfants bénéficient également d’un suivi pédiatrique avec mise à jour des vaccins. L’association fournit chaque année plus de douze tonnes de nourriture de première nécessité aux familles de ses élèves.

Contexte :

Le Népal possède un revenu annuel par habitant qui est l’un des plus faibles au monde. Un Népalais sur quatre vit avec moins de 1,25 dollars par jour. La crise Covid-19 a encore affaibli le pays et diminué ses rentrées financières car le tourisme représentait une source importante de revenus pour une partie de la population.

Projet :

L’Organisation Suisse Sagarmatha soutient deux centres pour enfants défavorisés à Katmandou. Le centre Sagarmatha est une maison d’accueil créée en 2002 à Katmandou. L’association suisse Sagarmatha qui soutient ce projet a été fondée en 2010. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 2013. Les enfants sont pris en charge dès l’âge de 5-6 ans et quittent le centre à la fin de leur scolarité ou de leur formation. Ils sont nourris logés et encadrés. Le centre représente davantage une véritable famille qu’un foyer d’accueil. Actuellement 36 enfants ou adolescents issus de milieux défavorisés (dont certains sont orphelins) y vivent.

Objectifs :

Offrir une éducation scolaire
Fournir un logement, une alimentation, des soins médicaux adaptés
Organiser une formation professionnelle pour les enfants qui terminent leur scolarité.
La Fondation Pierre-Henri Ducret prend en charge une partie des frais de scolarité des enfants.

Bénéficiaires : Des enfants défavorisés à Katmandou au Népal dès l’âge de 5 ans.

Projet : L’objectif principal de ce projet est d’assurer les soins de santé et la transmission des connaissances en matière de prévention aux familles vivant dans des zones de forte vulnérabilité et ayant des enfants de moins de 18 ans.

Contexte : Le Pérou a été très touché par l’épidémie de COVID-19. Il occupe la première place de surmortalité dans la pandémie, ce qui est un reflet d’un système de santé en faillite. Le projet du Bus de la Santé développe trois axes de travail :

  1. Les apprentissages participatifs qui permettent au programme d’être perçu comme utile et nécessaire pour assurer une meilleure qualité de vie.
  2. Communauté pour les enfants : Cette confiance construite avec la communauté permet de développer une vision en commun sur les droits des enfants et ainsi améliorer leur qualité de vie.
  3. Développement de porte-paroles : Les leaders communautaires et chaque personne qui participe aux actions du Bus de la Santé deviennent des porte-paroles de la prévention, des bonnes pratiques et des droits des enfants dans la communauté. Ceci permet d’assurer la durabilité en assurant des apprentissages qui font partie des actions et pensées des habitants de la communauté.

Bénéficiaires : Plus de 650 familles, touchant 80% des jeunes enfants de ces communautés.

Atelier des enfants, A Taller de los Ninõs

https://www.atelierdesenfants.ch

 

Formation professionnelle

Contexte:

Le Mozambique est un des pays les plus pauvres de la planète. Deux tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté, avec une incidence particulière dans les zones périurbaines et rurales. Le pays est très jeune, 45% des citoyen·ne·s a moins de 15 ans. Pour des dizaines de milliers de jeunes et de jeunes adultes, les perspectives d’emploi postscolaires sont limitées. De nombreuses familles manquent de ressources financières pour assurer un accès à la scolarisation et à la formation professionnelle de leurs enfants. L’offre pédagogique des instituts de formation professionnelle correspond partiellement aux exigences du marché du travail.

Le Mozambique est une région prioritaire de la Coopération Suisse. Avec son bureau de coordination local – basé à Chimoio – et en collaboration avec ses organisations locales partenaires, Solidar Suisse participe concrètement au développement du pays et permet aux jeunes de réussir le défi représenté par une formation et une insertion durable dans l’économie locale. Cette action participe à l’atteinte de deux objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 : Objectif 1 Eliminer la pauvreté et Objectif 4 Assurer l’accès de tous et toutes à une éducation de quali.

Projet: Solidar soutient la formation professionnelle des adolescent·e·s les plus vulnérables. Acquérir une formation professionnelle, c’est une clé pour accéder au marché du travail au Mozambique.

Action directe et concrète en faveur des apprenant·e·s

L’action se matérialise de trois façons :

  • Aide directe en faveur de 1’200 apprenant·e·s, dont 150 malvoyant·e·s : soutien aux frais d’écolage, d’hébergement, de vêtement et de matériel pédagogique ;
  • Soutien à la création d’entreprise : capital attribué à des jeunes disposant de qualités entrepreneuriales, accompagnement sur la durée des jeunes entrepreneur·euse·s ;
  • Développement des capacités pédagogiques des formateur·trice·s ; appui didactique pour l’amélioration des cours de formation ; renforcement du fonctionnement administratif des écoles professionnelles publiques et privées partenaires.